lundi 6 juin 2022

climatiser automatique Dacia

 Votre véhicule est équipé d'un système de climatisation automatique qui gère la mise en route ou l'arrêt de l'air conditionné en fonction des conditions climatiques.

 mode automatique.

 Le système gère la vitesse de ventilation de la mieux adaptée pour atteindre et maintenir le confort, pour l'activer, appuyer sur cette touche,



Le voyant intégré auto s'allume alors vous pouvez ajuster manuellement la vitesse de ventilation en tournant cette commande.



Utiliser celle-ci pour ajuster la température.



 Vous pouvez également activer ou désactiver l'air conditionné en appuyant sur cette touche.



 Enfin, pour modifier la répartition de l'air dans l'habitacle, tourner cette commande sur la position souhaitée.




 Notez que si vous modifiez manuellement un réglage le mode automatique se désactive, pour y revenir il suffit d'appuyer à nouveau sur cette commande, la fonction voir clair permet de lancer un désembuage rapide ou un dégivrage de la lunette arrière, des vitres latérales avant et selon les versions des rétroviseurs extérieurs. 




Pressé ce bouton pour un désengagement rapide de la lunette arrière, le recyclage de l'air au sein de l'habitacle est automatique et s'active en fonction de la qualité de l'air extérieur, mais vous pouvez aussi l'activer manuellement en appuyant simplement sur cette touche.



 Noter que l'utilisation prolongée de cette fonction peut entraîner la formation de buée, il est conseillé de repasser en mode automatique dès que le recyclage d'air n'est plus nécessaire, enfin tourner cette commande sur off pour arrêter le système.


capteur de température d'eau et ecu gestion moteur

 

Je vais t'expliquer un petit truc sur le fonctionnement d'un capteur, donc cela on est sur le type résistance variable, donc ça, c'est une sonde de température, c'est une résistance qui va varier en fonction de la température. 

Il y a deux fils, ce n'est pas polarisé, il y a une résistance qui est plongée dans le liquide de refroidissement. J'ai branché la sonde de température va s'élever plus la résistance va baisser.




Je vous montre la petite démonstration (vidéo), tu vois là je chauffe la sonde de température longtemps, tu vois la température à augmenter et la résistance a chuté.

Qu'est ce qui se passe concrètement, il se passe que dans le calculateur via le système qu'on appelle pont diviseur. 


Tu vois alors un pont diviseur, c'est R2 résistance alors il y en a une qui est dans le calculateur et il y en a de notre sonde qui varie donc c'est la résistance variable.

Le calculateur est informé du voltage de retour donc en fonction de la résistance voit son applique la loi d'ohm qui est ici présents :



 La résistance en voltage varier entre 0 et 5 volt normalement un calculateur, numérisés avec des valeurs de zéro à 1023, ce que tu sais qu'en binaire des valeurs qui sont doublées, ça fait 2 4 6 8 etc jusqu'à 1024.


vendredi 3 juin 2022

calculateur 3.4 DCM Dacia logan,sandero.

Comment lire calculateur 3.4 DCM Dacia.



1-couper cette partie et fait attention de ne pas carte des composants électrique.




2-enlever l'EEPROM de sa place.





3-mettre EEPROM sur le support xprog pour lire les donne d'EEPROM.






-après lire EEPROM sauvegarder l'origine des donnes puis Virginie EEPROM.
-dessouder EEPROM dans sa place puis démarrer.









lundi 23 mai 2022

Limiteur de vitesse;


Le limiteur de vitesse vous permet de ne pas dépasser une vitesse préalablement choisie par vos soins. Vous pouvez ainsi ajuster votre vitesse aux limites de vitesse en vigueur pour mettre en service la fonction limiteur de vitesse.

 Ce témoin orange et le message limiteur apparaissent au tableau de bord pour vous indiquer que la fonction est activée est en attente de vitesse de limitation pour enregistrer la vitesse de votre choix. Appuyé sur plus, votre vitesse actuelle est alors mémorisée, vous pouvez ensuite modifier la vitesse de limitation en appuyant successivement sur plus ou moins jusqu'à obtenir la vitesse désirée.

Notez que vous ne pourrez pas enregistrer une vitesse inférieure à 30 km heure lorsque vous atteignez la vitesse de limitation votre action sur la d'accélérateur ne vous permet pas d'accélérer davantage il est bien entendu possible de reprendre temporairement et à tout moment le contrôle de l'accélération du véhicule en appuyant franchement sur la d'accélérateur au-delà du point Dur la vitesse limitée clignote à l'heure au tableau de bord durant le temps du  dépassement pour revenir à la vitesse de limitation relâche et simplement là d'accélérateur la fonction est rétablie de que vous atteignez à nouveau une vitesse inférieure à celle mémorisée.

 Pour mettre en veille la fonction, il vous suffit d'appuyer sur le contacteur. La vitesse limitée et mémoriser et le message même s'affiche alors le témoin au tableau de bord pour réactiver cette vitesse, une simple pression sur ce contact heure suffit pour réactiver la fonction sans tenir compte de la vitesse mémorisé, appuyez sur ce bouton, c'est votre vitesse actuelle qui est alors prise en compte enfin pour désactiver complètement la fonction appuyée sur le contacteur initial l'extinction du témoin orange et du message associer au tableau de bord confirme l'arrêt la vitesse précédemment enregistrés.

 Mais alors plus mémorisées gardez à l'esprit que la fonction limiteur de vitesse Nagy en aucun cas sur le système de freinage et que la vitesse ne peut être maintenue par le système en cas de forte descente dans ce cas la vitesse mémorisé clignotent au tableau de bord pour vous informer que vous roulez au-delà de la vitesse limitée vous devez alors agir sur le frein pour reprendre le contrôle de votre allure précisons que cette fonction est une aide supplémentaire à la conduite et ne peut remplacer le respect des limitations de vitesse ni votre vigilance gardez toujours les pieds à proximité des pédales pour être prêts à intervenir en cas de nécessité.

vendredi 20 mai 2022

La mécatronique : une synergie entre mécanique, électronique et informatique.

 


Introduction : Comprendre la mécatronique.


La mécatronique est une discipline interdisciplinaire qui combine la mécanique, l’électronique et l’informatique. Elle vise à concevoir et à contrôler des systèmes intelligents intégrant des capteurs, des actionneurs et des logiciels de commande.

L’objectif de la formation en mécatronique.


L’enseignement de la mécatronique a pour but de former des ingénieurs capables de concevoir des systèmes complexes où la mécanique et l’électronique coopèrent.
Les étudiants apprennent à intégrer des composants informatiques et électroniques dans des systèmes mécaniques afin d’en optimiser le fonctionnement et la performance.


Des exemples concrets : du frein ABS au robot mobile.


Un exemple typique de système mécatronique est le frein ABS, qui nécessite une compréhension fine de la dynamique du véhicule, des capteurs, des contrôleurs et des actionneurs pour assurer un freinage précis et sécurisé.
Les étudiants sont également amenés à travailler sur des robots autonomes, où ils conçoivent la programmation du microcontrôleur, la logique de décodage des signaux et les circuits électroniques nécessaires pour accomplir différentes tâches.


Une approche pédagogique intégrée.


Le cours de projet de mécatronique permet aux étudiants de mettre en pratique ces connaissances. Ils développent des plateformes électroniques, programment des microcontrôleurs et conçoivent des modules de traitement logique.
Cette approche concrète favorise la compréhension des interactions entre matériel, logiciel et mécanique, tout en développant des compétences recherchées dans les secteurs de la robotique, de l’automobile et de l’automatisation industrielle.


Conclusion : la mécatronique, une formation d’avenir.

En intégrant les fondements du génie mécanique à des notions d’électronique et de programmation, la mécatronique prépare les étudiants à concevoir les systèmes intelligents qui transformeront l’industrie de demain



vendredi 13 mai 2022

"Voitures hybrides et électriques : fonctionnement, recharge, autonomie et coût d’entretien"

 



Introduction : mieux comprendre l’hybride et l’électrique

Les véhicules hybrides et électriques suscitent encore de nombreuses questions. Ces technologies, relativement récentes, changent nos habitudes de conduite et d’entretien. Cet article vous propose un tour d’horizon clair :

  • Quels sont les différents types de motorisations ?

  • Comment recharger ces véhicules ?

  • Quelles sensations de conduite offrent ils ?

  • Quel est le coût réel de leur entretien ?

1 – Les différents types de motorisations

Il existe trois grandes familles de motorisations :

  • 100 % électrique : le véhicule fonctionne uniquement grâce à une batterie, sans carburant ni émission de CO₂. Selon les modèles, l’autonomie varie de 60 à plus de 600 km.

  • Hybride classique : une batterie vient assister le moteur thermique, notamment lors des phases d’accélération, ce qui réduit la consommation de carburant.

  • Hybride rechargeable (PHEV) : la batterie peut être rechargée sur secteur ou borne, permettant de rouler jusqu’à 50 km en mode 100 % électrique pour les trajets quotidiens.

2 – Les méthodes de recharge

  • Hybride classique : la batterie se recharge uniquement par récupération d’énergie au freinage ou à la décélération (système type dynamo).

  • Hybride rechargeable : en plus de la récupération d’énergie, la recharge se fait sur prise domestique (environ 4 h) ou borne rapide (moins de 3 h).

  • Électrique 100 % : la recharge est similaire à celle des PHEV mais plus longue, car les batteries sont plus grandes :

    • 5 à 6 h sur borne rapide

    • jusqu’à 20 h sur prise classique, selon l’autonomie du véhicule.


3 – Style, puissance et plaisir de conduite


Contrairement aux idées reçues, le plaisir de conduite des véhicules hybrides et électriques est réel et même optimisé.

  • Puissance instantanée : l’énergie est disponible immédiatement à l’accélération, sans délai comme sur les moteurs thermiques.

  • Design moderne et polyvalent : les constructeurs proposent désormais des modèles électriques et hybrides au style consensuel et non plus futuriste à outrance.


4 – Quel trajet type pour quel véhicule ?


  • Véhicules électriques : parfaits pour les trajets quotidiens et même les longs déplacements grâce à des autonomies dépassant 600 km sur certains modèles.

  • Hybrides rechargeables : idéaux pour les trajets quotidiens (environ 50 km) en mode 100 % électrique, tout en conservant un moteur thermique pour les longs trajets (vacances, autoroute).

  • Hybrides classiques : réduisent la consommation en ville et lors des accélérations, sans contrainte particulière par rapport à un véhicule thermique.


5 – Coût et entretien

  • Électriques : l’entretien se limite principalement aux pièces d’usure (pneus, freins), car il n’y a pas de moteur thermique à réviser.

  • Hybrides et hybrides rechargeables : nécessitent l’entretien du moteur thermique (révisions annuelles ou selon le kilométrage) en plus du suivi de la batterie.

mercredi 11 mai 2022

Reprogrammation moteur : tout savoir sur la modification de cartographie automobile.


Qu’est-ce que la cartographie moteur ?

La cartographie moteur est un fichier électronique contenu dans le calculateur (ECU) d’un véhicule. Il regroupe toutes les tables de consignes qui régissent le fonctionnement du moteur : gestion de l’injection, pression de turbo, temps d’ouverture des injecteurs, etc.

Modifier cette cartographie revient à reprogrammer le moteur pour remplacer les réglages d’usine par des paramètres optimisés, selon les objectifs recherchés :

  • Augmenter la puissance et le couple,

  • Réduire la consommation de carburant,

  • Adapter le moteur à l’éthanol (E85).

Quels sont les gains possibles ?

  • Puissance : une reprogrammation bien réalisée peut offrir jusqu’à +60 % de puissance sans endommager le moteur.

  • Consommation : en ajustant les paramètres d’injection, on peut réduire la consommation jusqu’à 30 %.

  • Carburant alternatif : il est possible d’adapter la cartographie pour rouler à l’éthanol E85 en modifiant la durée d’injection.

Quels outils sont nécessaires ?

  • Câblage OBD2 pour connecter les outils au véhicule,

  • Valise de diagnostic pour contrôler les paramètres et corriger les défauts,

  • Banc de puissance afin de mesurer précisément les performances avant et après la reprogrammation.

Comment se déroule une reprogrammation moteur ?

La modification de cartographie se réalise en quatre étapes clés :

  1. Diagnostic initial : vérifier l’état du véhicule et corriger les anomalies.

  2. Passage au banc de puissance : mesurer les performances d’origine et définir les objectifs.

  3. Modification du calculateur : ajuster les paramètres en fonction des résultats.

  4. Contrôle final : réaliser un dernier diagnostic pour confirmer l’efficacité des réglages.


Quel est le coût d’une reprogrammation moteur ?

Le tarif pratiqué par un professionnel varie généralement entre 400 € et 2 500 €, selon le modèle du véhicule et le type d’optimisation.
Il est possible de réaliser l’opération soi-même pour réduire les coûts, mais cela nécessite une parfaite maîtrise des outils et des logiciels.

Quels sont les risques et obligations légales ?

  • Risques mécaniques : une mauvaise manipulation peut endommager gravement le moteur.

  • Obligations légales : toute augmentation de puissance impose une mise à jour de la carte grise. En cas de non déclaration, vous risquez 135 € d’amende.

  • Assurance : un véhicule reprogrammé non déclaré peut ne plus être couvert en cas de sinistre.

Conclusion

Modifier la cartographie moteur permet d’optimiser les performances et la consommation d’un véhicule. Toutefois, cette opération exige une expertise technique, un équipement professionnel et le respect des obligations légales afin d’éviter tout problème mécanique, juridique ou assurantiel.

Flashage du BCM : Guide complet pour la reprogrammation des modules électroniques

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